LE DAÏMIO
Publié : dim. 19 févr. 2017, 3:23 pm
Un volumineux voilier de 7 m, pour la petite croisière. Construit en stratifié, verre/résine épikote, ce matériau n’est pas sujet à l’osmose.
Comme plusieurs de voiliers habitables de l’époque, le plan de pont du Daïmio se caractérise par un rouf assez proéminent qui se prolonge en avant du mât, ce qui permet de conserver une hauteur sous barrots convenable dans l’ensemble de la cabine.
Le cockpit est vaste et dégage un espace confortable à l’arrière avec des coffres de volume très correct.
L’intérieur, non cloisonné, offre un volume très important pour un bateau de cette taille. On retrouve la disposition la disposition classique, avec deux couchettes de part et d’autre du carré se prolongeant sous les bancs du cockpit et une couchette double en avant de l’épontille de mât.
Sur l’eau le Daïmio n’est pas un foudre de guerre, surtout par petit temps, mais se révèle très agréable dès que le vent force et que la voilure a été réduite pour l’adapter aux conditions du moment.
Homologué, à l’époque en 3ème catégorie, le Daïmio permet aujourd’hui, avec l’équipement semi-hauturier, de faire dans de bonnes conditions, des traversées d’une centaine de milles (Corse, Baléares...).
Comme plusieurs de voiliers habitables de l’époque, le plan de pont du Daïmio se caractérise par un rouf assez proéminent qui se prolonge en avant du mât, ce qui permet de conserver une hauteur sous barrots convenable dans l’ensemble de la cabine.
Le cockpit est vaste et dégage un espace confortable à l’arrière avec des coffres de volume très correct.
L’intérieur, non cloisonné, offre un volume très important pour un bateau de cette taille. On retrouve la disposition la disposition classique, avec deux couchettes de part et d’autre du carré se prolongeant sous les bancs du cockpit et une couchette double en avant de l’épontille de mât.
Sur l’eau le Daïmio n’est pas un foudre de guerre, surtout par petit temps, mais se révèle très agréable dès que le vent force et que la voilure a été réduite pour l’adapter aux conditions du moment.
Homologué, à l’époque en 3ème catégorie, le Daïmio permet aujourd’hui, avec l’équipement semi-hauturier, de faire dans de bonnes conditions, des traversées d’une centaine de milles (Corse, Baléares...).